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 Stilgard, le début

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AuteurMessage
Darqam
floodeur




Stilgard, le début Empty
MessageSujet: Stilgard, le début   Stilgard, le début Icon_minitimeLun 16 Fév - 20:48

[HRP] Contient des passages un peu violent, a lire en y tenant compte [/HRP]

Je m’appelle Stilgard, Stilgard le chercheur ou encore le pisteur. Mes premières années, je les vivais dans un village au bord de mer. Je n’aie jamais été riche et j’ai souvent vécu à travers des années de misères. Quand j’ai eu l’age de 19 ans, un cavalier et sa troupe vinrent et attaquèrent le village avec le couvert de la nuit. Avant même que nous sachions ce qui se passait, la moitié des maisons était en feux et leurs habitants morts étendus sur le sol. La maison de ma famille se situait la plus près de la mer, et de ce le plus loin des agresseurs. Mon père prit son harpon et moi mon misérable bout de fer qui se faisais passer pour une épée. Nous nous jetâmes tous les deux vers la bataille, je n’avais jamais vu mon père avec autant de haine dans son regard. Dès que nous fûmes a porté de tir, il lança son harpon qui vola directement vers un des soldats. L’harpon trouva un point faible au niveau de l’épaule et transperça de part en part le soldat. Celui-ci tomba à terre sans jamais savoir ce qui s’était passé. Mon père ne resta pas désarmer longtemps, il ramassa une épée qui traînait à terre et se rua dans la mêlé des soldats avec moi sur ses talons. À ma grande honte, je me fis tout de suite désarmer et envoyer au sol.Je me retournai afin de voire celui qui me tuerait mais, à la place, je vis un soldat regardant hébété son ventre d’où ressortait un bout de lame rouge de sang. Tombant au sol, il me laissa voir mon père avec l’épée qui avait tué en main. Alors qu’il me souriait, chose bizarre en moment de bataille, le chevalier apparu derrière lui et avant que je ne puisse faire n’importe quoi, il tua mon père d’un coup d’épée, tranchant net son cou laissant tomber sa tête qui vint rouler vers moi... toujours le sourire aux lèvres. À cette vue, je me sentit basculer dans le noir.

Les premières lueurs du soleil eurent raison de mon sommeil et me forcèrent à me lever. J’étais étendue sur le sol de notre village... Il me fallut un moment afin de me rappeler les évènements qui venaient de se produire. Je me mit immédiatement à rechercher les corps que j’avais vus pendant la nuit mais ne trouva rien. C’est alors que je réalisai qu’une maison n’avait pas été brûlée, elle restait toujours debout relativement intacte. Je m’y dirigeais, mais rien n’aurait sus me préparer à l’immondice que j’allais voir. Les soldats avaient d’abord mis à nu chaque corps et les avaient ensuite empilés au milieu de la salle d’accueil. Tout le village reposait là, dans ce tas de corps baignant dans le sang. Je ne pouvais pas bougé, pas pensé. Mon regard allait de corps en corps, reconnaissant chaqu’un de mes voisins, mais quand je vis la tête de mon père et le corps de ma mère c’est alors que le monde s’effondra. Je sortis en courant de la maison et me dirigeai vers la plage non loin de là. Je couru jusqu’à ce que l’eau arrivât à mes genoux et alors je m’arrêtai et puis l’image des corps me revint en tête. Je criai, je ne sais pas pourquoi mais il fallait que je crie, que j’avertisse le monde de mon désespoir, de ma peur... de ma future vengeance. Je jurais que ces soldats paieraient, que chaqu’un perdrait la vie de ma main, aucun ne s’en échapperait.

Cela faisait 4 ans que je les chassais de royaume en royaume, trouvant a chaque fois un village en flammes. Je le sentais, je savais que je m’approchais d’eux, bientôt je pourrais avoir ma vengeance. Quand enfin je parviens à un village qu’il raidaient, je couru vers eux, coutelas a la main, espérant les égorger tous les uns après les autres, cela n’avait aucune stratégie militaire quelque soit, j’avais eu quatre ans et j’ai tout oublié en ses quelques instants. Je n’avais pas parcouru la moitié de la distance qu’un des soldats me vit et me visa de son arc, je gela sur place. Alors que je me croyais mort, comme un miracle, une nouvelle troupe de cavaliers arriva dans mon dos. En quelques instants, ils mirent fin aux jours des misérables tueurs et moi je restai figé tous ce temps, assistant au deuxième massacre de ma vie. Peu après les soldats empilèrent le corps et y mirent le feu. Leur devoir fait ils quittèrent le village en revenant sur leurs pas. En arrivant a mon niveau, leur chef ralentit son allure et me regarda. Il m’examina d’abord moi et ensuite mon coutelas. « Tu comptais tous les tuer avec seulement cela? C’est une bonne chose que nous sommes venus. » A ces mots il sourit et partit suivi de sa troupe.

J’avais échoué, il avait fallu que d’autres les tues a ma place, je n’avait pas été assez fort pour venger mes parents et mon village. Je m’etais juré que plus jamais je ne serais un faible, jamais plus ne laisserais-je une vie innocente s’eteindre sous une lame ennemie. Je me diriga vers la ville fortifié la plus proche et m’enrola comme soldat. C’est avec ce corps armé que je passa les cinqs prochaines années de ma vie. Je dépassait de loin tout les autres, eux qui osaient s’appelez défenseur de la paix qui ne pouvait même pas manier l’épée. Cependant il y en a un qui faisait exception à la règle, Nurt, un jeune venu des contrées du sud. Lui aussi avait vu sa famille mourir par la même hordes de démons que moi et un lien d’amitié se tissa entre nous rapidement. Notre passion, nos espoirs nous rendaient les meilleurs du groupe. Nous etions inséparable et devenu de tellement bon amis qu’ont ne pouvais pas y voire une fin. A mon grand malheur, Nurt fut envoyer en mission avec un petits groupe de soldats afin de calmer un groupe de sauvages, des êtres qui n’avaient pas accepter la civilization et s’en prenaient au pauvres gens. J’avais demander, je me suis mit a genou, mais ils ne me laissèrent pas partir avec lui dans cette première mission.

Les jours s’éternisaient depuis son depart, aucune nouvelle n’étaient revenues quand enfin un messager arriva portant une missive du seigneur possedant les terres agressée. Il remerciait grandement l’aide des soldats mais deplorait la perte de quelques uns. Je ne sais pas pourquoi, mais je n’aurais pu douter que Nurt faisait partie des quelques morts. Ce n’est qu’au retour du groupe que je dus m’en rendre compte. Je demanda des precisions et ils me raconterent un des recit les plus hommageux. Nurt s’était battu vaillement, il avait a lui seul abbatu plus de la moitié des sauvages, son hardeur faisait monter le courage chez les autres, mais quand les sauvages se replierent, il eu la mauvaise idée de les suivre voulant les achever tous jusqu’au dernier. Il était tomber dans un piege mis en place pour proteger leurs retraite, les sauvages avait posté un archer dans les arbres et abatu Nurk d’une fleche dans le dos. Il n’avait pas soufert.

Ils ne voulaient pas le dire mais je l’avais bien compris, c’est son arrogance, le fait qu’il se pensait le meilleur qui avait causé sa mort. C’est une leçon que j’appris du moyen le plus dure possible car ont m’avait souvent dit que nous etions identiques et nous le savions. Si cela avait été moi, j’aurais commis la même erreur et serait mort. Je continua encore un mois mon service millitaire dans cette ville puis la quitta pour un poste d’éclaireur. Je devins alors libre de voyager ou bon me semblait, je pourrais visiter des contrées inconnues, riches, hostile, tout s’offrait a moi. C’est d’ailleurs grace a ce poste que je trouva la chose qui changea ma vie.
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