Espions pour cible

Chaque membre est un espion de n'importe quelle agence:KGB,MI-6,CIA et d'autres si vous en connaisez d'autres.
Interdiction formelle de tuer les autres personnages joués par les membres du forum.
Je commence:

"-Camarade Asimov?
-Da, camarade chef?
-Vous êtes affecté à une nouvelle mission. Vous devez vous rendre à Paris, France,pour espionner une réunion entre deux autres espions. L'un de la CIA, l'autre du MI-6. Emportez tout materiel qui vous semblera nécéssaire et tout homme qui pourras vous être utile. Ce sera tout. Vous pouvez y aller."
Je sortis du bureau.

John était dans un avion civile de Londres vers Paris, il devait rencontrer un type de la CIA pour lui rendre un rapport d' espionnage sur l' armement de l' URSS, du peu qu' il en avait lu, il y avait environ 45000 tetes nucléaires dans les entrepots russes ainsi qu' une page entierement codé qui, son patron lui avez dit, concernait la nouvelle station spatiale russe, MIR, qui renfermerait une arme capable de detruire un missile nuclaire en vol.

"Blom"
Le garde s'écroula à terre sous l'effet de la seringue. Je montais l'échelle et arrivai vers une sorte de fenêtre. Je pris mon audiolaser et le dirigeai vers les deux hommes:
"-Bienvenue... brzz... John... brzz brzz... Avez vous le rapport... brzz... russes?
-Bien sur. Le voila. "
L'américain prit le rapport et commenca à le lire.
Au bout d'un moment, l'américain fit signe à un homme et lui donna le rapport. Un autre homme lui apporta une mallette.
"-Voici l'écran -radar. Il vous permettra, grace à notre radar situé en californie, de sonder la station MIR
-Je vous remercie, répondit l'anglais, Où se trouve le radar?
-Dans la zone 51.
-Et il est capable de sonder la station MIR?
-Oui.
-Alors pourquoi ne pas l'avoir déjà fait?
-Nous avons eu quelques petits contretemps. Des sabotages. Mais le radar sera opérationel dès demain.
-Et si cet écran qui se trouve dans cette mallette ne servait à rien. Mes superieurs et moi se seriont fait roulés.
-Mais enfin, je vous jure que...
-La parole d'un américain ne vaut rien.
-Mais je vais te tuer , fucking english."
A ce moment là, un homme entra dans l'entrepot, paniqué.
"-Il faut partir! On est repéré!
-Et merde, qu'est ce que..."
Soudain, des soldats armés entrèrent dans l'entrepot et entourerent les hommes. C'était le contre-espionnage francais.

Moiche enleva l'oreillette et se cala confortablement dans le fauteuil de la Ford... Pratiques ces petits micros placés la veille dans le batiment!! Les américains étaient si prévisibles, les anglais se pensaient tellement supérieurs!!
Urtsunov avait raison, on pouvait leur faire gober nimporte quoi... Une arme nucléaire à bord de la station MIR?... Pourquoi pas... Pendant qu'ils auront les yeux rivés sur l'espace, ils ne verraient pas ce qui se passera sous leur nez!!
Il avait bien fait de prévenir les français, ils n'aimaient ni les amerlocks ni les rosbiffs!! Le temps qu'ils s'expliquent, il serait à Washington... Et avec les français au courant, ça ferait encore plus de monde à scruter le ciel...
Et pour le ruskoff sur le toit?? Bah, qu'il se débrouille pour se sortir de là... Il n'était pas prévu à la fête. On verrait plus tard, s'il devenait un obstacle ou pas...
Ainsi fonctionnait le Mossad israëlien, jamais ami, jamais ennemi...

Voici un bien étrange rendez-vous: des français, des américains et des anglais. Trois peuples qui se détestent les uns des autres. Cependant, leurs discussions me laissaient perplexe. Depuis quand nous les Russes avions-nous une station possédant une arme nucléaire? Je descendais les escaliers et sortis ma radio il fallait absolument que je contacte mes supérieurs.

"-La station MIR ne contient absolument aucune arme nucléaire.
-Qu'est ce quelle contient alors?
-Le dossier est classé secret défense.
-Demandez l'autorisation.
-C'est impossible. Seul quelques généraux haut placés y ont accès.
-Lesquels?
-Le général Plouskof, le général Vroski et le général Gogole.
-Entendu, fin de la communication."
Je me devais maintenant de faire une petite visite au camarade Gogole.

Comment ces incapable de Francais nous avait trouvaient, j' en savait rien. mais je put sortir apres un jour grace a ces combines politique avec l' ordinateur entre les main. On m' avait posé des tas de question sur le fichier qu' il n' avait pas reussi a decripter ... le défaut des démocratie, c' est que la torture n' est pas tres aprouvé, et j' allais pas m' en plaindre.

Je partis dans un avion privé a destination de la zone 51. Mais le probleme reste entier, la conquete spatiale reste pacifique est il sera dur de convaincre de faire sauter le premier sattellite artificiel abité ...

Washington DC, 11h15.
L'hotel Monaco était vraiment bien placé. A droite, sur la 7ème rue, le musée international des crimes et chatiments, à gauche, sur la 8ème rue, le musée international de l'espionnage...
Moishe prit à gauche, descendant F street jusqu'au restaurant FineMondo où il avait ses habitudes. Il aimait savoir qu'il n'était qu'à 3 rues de la Maison Blanche et du bureau ovale. Environ 450 mètres le séparaient du président des Etats Unis d'Amérique...
Sa réservation avait été enregistrée la veille et il put avoir sa table habituelle. D'abord faire un bon repas, c'était un rituel...

La zone 51, l' un des endroits les plus secrets du monde, et je put meme pas le voir, tout ce que je voyais dans la vitre teinté, c' etait mon visage. La voiture se gara et je put sortir ... sans rien voir: petit parking sous-terrain ... quelle frustration ... On me mena dans une piece avec un grand bureau et dessus avec le telephone rouge, mes mon attention se fixa sur la silouhette que je devinait a peine et qui pointait vers moi sa lampe ...

La base 51. L'anglais était ici. L'américain était interrogé à Moscou. Mais l'anglais avait été rapatrié trop vite. Quant au général Gogole, il se trouvait ici, dans cette base. Je devais récupérer l'anglais et le général. Je me tournais et m'adressai au commandant:
"Lancer l'assaut!"
L'homme acquiesça et fit un signe aux hommes derrière lui. Je prit mon arme et les suivis. Les soldats avançait prudemment à travers les broussailles. L'un des hommes s'approcha de la grille et, à l'aide d'une pince, la coupa et fit une ouverture. Les hommes s'engouffrait. Les sentinelles américaines qui se trouvaient sur notre chemin moururent sans un bruit. Nous arrivâmes dans un bâtiment. Un ascenseur s'y trouvait. Je le prit avec une poignée de soldats et nous descendîmes. Lorsque la porte de l'ascenseur s'ouvrit, Je vis l'anglais et... le général Gogole.

J' entendit des coups de feu, et apres une acalmi, l' ascenseur avec lequelle je suis arrivé ici s' ouvrit. Des hommes armés sortirent et je reconnu aussitot que c' etait des russes, malgres leurs vetements de soldats Américains, ils avaient des armes et des tete de russes. Je me leva precipitament et j' envoya ma chaise dans le groupe. Je profita de cette seconde pour m' enfuir vers la porte et je trouvit un des techniciens en train de prendre une arme dans une armoire. Je me servit et je repartit vers la salle d' interrogatoire tout en enlevant le cran de sécurité ...

"A terre!"
Je plongeai derrière un mur. Plusieurs de les hommes furent tués et le reste put se mettre à l'abri. La fusillade commença. Je vis l'anglais, qui venait de nous envoyer une chaise en pleine figure, revenir avec une arme. Je descendis les deux hommes à coté de lui et vit le général Gogole partir par une porte dérobée.
"-Trois hommes avec moi. Cinq autres pour capturer l'anglais et le reste pour détruire le radar. Exécution et vite. Où je vous exécute!"

John avait compris entre 2 coups de feu l' ordre donné aux russes : detruire le radar ... il ne fallait pas que ca arrive. il se dit qu' un radar se trouve generalement en surface, mais le probleme, c' est que les russes génaient le passage vers l' ascenseur. Il suivit les "Exit" au dessus des portes pour enfin arriver devant un escaliers qu' il monta 3 marches par 3 en entandant qu' on le suivait

"-Camarade commandant, qu'est ce que l'on fait?
-On ne peut s'en sortir sans renforts
-Mais, cela signifierait ...
-Oui, la 3eme guerre mondiale. capturons d'abord le général Gogole, on avisera après."

Le Général Gogole était coincé. L'intérrogatoire allait commencé. Puis il nous fit une révélation qui nous étonna tous:
"Le station MIR dont tous le monde parle n'est pas la station russe. Il y a une deuxieme station de ce nom et elle est Israelienne!"
Je ne sus quoi dire. Je restais un moment silencieux lorsqu'un soldat me sortit de ma torpeur:
"-Camarade commandant, qu'est ce qu'on fait.
-Cessez le combat. Il faut nous entretenir avec les américains et l'anglais."

Moishe repoussa son assiette et passa au café.
Le repas était bon, comme d'habitude.
Il aimait ces petits moments où il pouvait savourer la vie autour d'un bon verre de vin et un bon repas...
Quelque part sur cette Terre, des gens se battaient, s'entretuaient, mouraient...

Moishe se leva et, après avoir réglé son addition, quitta le restaurant. Il avait laissé la mallette sous la table.
La formidable explosion retentit alors qu'il était à 4 blocs de là. Suffisament de C4 pour que les débris retombent sur la pelouse de la Maison Blanche...
Pour l'enquète, il déjeunait depuis des mois sous le nom de Mohamed Jamal AlAddani, de nationalité iranienne. Parmi les morts bientot identifiés, deux israéliens. Un anonyme attaché d'ambassade et Joseph Baumann, leader de la mouvance modérée de la Kneset, opposant notoire au gouvernement en place. La revendication de l'attentat par un groupuscule arabe bidon tomba à Langley au moment où Moishe prenait possession de sa voiture de location et quittait Washington.

Si tout se passait bien, deux heures plus tard, une bombe ferait des dizaines de morts dans le métro de Londres et il y aurait une nouvelle incursion des rebels tchètchènes en Russie. Rien de bien nouveau... Juste de quoi lui laisser le temps de passer à la phase suivante et de quoi occuper ses adversaires du jour. Il avait voulu qu'ils regardent tous vers le ciel, ils l'avaient fait. Maintenant, il voulait que tous redescendent sur terre...
Moishe attachait bien peu d'importance à la vie humaine en elle même et réfléchissait en terme de résultat et d'objectif. Sur dix gros titres des journaux télévisés internationaux,neuf étaient son oeuvre. Il avait même organisé certains coups fumants qu'il ne pourrait jamais revendiquer ou mettre sur son CV...
Ah, le 11 septembre!!... Le jour de l'anniversaire de sa mère, paix à son âme.

Alors, c' est a ne plus rien comprendre : je sortait en direction de l' antenne et je me retourna pour voir si mes agresseur me suivait et c' etait effectivement le cas. Ils jetterrent leurs armes a terre et un des deux m' envoya sa radio sur laquelle je put parler a leur chef ...

"-Camarade John?
-Oui, lui-même.
-Je viens d'apprendre une nouvelle étonnante. Vous savez sans doute pourquoi nous nous sommes battus aujourd'hui?
-Oui, la fameuse station russe MIR.
-Erreur. La station MIR dont nous parlons n'est pas russe. Le général Gogole vient à l'instant de m'apprendre qu'il y avait deux stations MIR: une russe et une autre qui est israellienne."
L'anglais ne répondit pas.

"-Vous vous êtes introduit dans la base la plus secrète des Etas-Unis, avez tué des soldats américains et vous voudriez que nous nous allions?
-Presque tous les américains connaissent l'existence de cette base, répondao-je
-Mais pas ce que l'on y fait. Mais là n'est pas la question. Qui me dit que votre histoire de station israellienne n'est pas un piege tendue par les communistes?
-Vérifié vous même avec votre radar."
L'américain ne sut quoi répondre puis il ordonna à l'un de ses hommes de lancer le radar. Une heure plus tard(temps de préparation du radar), nous avions enfin une image de la fameuse station radar. Elle avait l'air d'un banale station d'observation scientifique. A ceci près qu'elle ne portait aucune marque de nationalité.
"-Comment fonctionne ce radar? demanda John
-Il créé une maquette tridimensionnelle de l'endroit visualisé. Et l'on peut regarder ce qui se passe presque en direct.
-Presque?
-Quelque secondes de décalage. Un tel programme ne peut pas être parfait.
-Depuis combien de temps ce programme a été inventé? questionnai-je.
-On a commencé à travailler dessus dès l'invention du satéllite espion.
-Je vois. Mais je ne vois rien d'exceptionnel dans ce programme.
-L'utilité réside dans ça. Regardez."
La caméra s'approcha de la station. Elle fonça droit dans le mur. Elle traversa la paroi et on voyait à l'interieur de la station.
"-Mais, balbutiai-je, comment est-ce possible?
-Trois radar nous fournissent une image 3D de la station.
-Trois radars? Où sont les autres.
-L'un est à washington. L'autre se trouve dans l'archipel des Bermudes.
-L'archipel des Bermudes, s'exclama John. En plein coeur du triangle?
-Exactement.
-Et les disparitions? Avez vous résolu l'affaire?
-Euh, secret d'état.
-Je vois. Et le troisieme radar, où se trouve il à washington?
-Près de la maison blanche.
-La maison blanche?
-Oui.
-Et ces radars n'envoient pas que des images de cette station?
-Non. Ils nous envoient également des données infrarouges, termiques,etc. Tout les types d'informations possibles et imaginables.
-Hey, que ce passe t-il?"
L'image de l'interieur du vaisseau se brouilla et revint à l'image exterieur.
"-Que c'est il passé?
-L'un des radar a des problemes.
-Et on n'a plus d'image en 3D de l'interieur?
-Oui."
Un soldat entra en courant dans la salle et s'adressa à l'officier américain:
"-Le radar de washington vient d'être détruit.
-Quoi?
-Une bombe. Du C4.
-A t'on une idée de qui as fait ça?
-Oui. On as vu l'agent israellien Moiche sur les lieux et partir en avion de l'aéroport de Washington.
-L'agent Israélien, vous dites? Capitaine, n'est ce pas là la preuve qu'Asimov a raison?
-Très bien je vous crois. Je contactez le président afin qu'il envoie son meilleur agent à la poursuite de ce Moiche.
-Nous partons également à sa poursuite,intervint John.
-Je ne vous empecherais pas.
-Très bien, je pars de mon coté alors, dis-je.
-Attendez, le but de cette entrevue n'était pas de s'allies contre les israeliens?"
Je réfléchis un moment puis je dis:
"Très bien, je vais faire équipe avec John et nous allons attendre l'agent américain"

Déguisé en pur américain(jeans et chemises), je traversais le contrôle militaire, John assis à coté de moi dans la voiture. La voiture traversa la plaine. Il n'y avait rien.
"-Où est le radar?
-Attendez, on ne le vois pas de ce coté."
La voiture continua sur sa lancée. Soudain, le radar apparut comme ça. L'endroit était vide et maintenant, il y avait ce radar.
"-Mais comment est-ce possible?
-Par un système de miroir. Les panneaux solaires que vous voyez un peu partout autour du site n'en sont pas. Il servent à renvoyer les rayons du soleil afin de cacher le radar.
-Je n'ai pas tout saisi
-Je ne pourrais pas vous expliquez plus précisément. Vous le demanderez aux scientifiques."
Je descendis de la voiture et m'approchais du radar. Fracassé en deux, la moitié de la parabole était tombé à terre. On voyait nettement les traces de l'explosion.
"-Vous croyez que Moishe a fait ça?
-Aucune idée. Mais les renseignements soviétiques indiquent que la moitié des récentes activités terroristes non-revendiqués seraient de lui.
-La moitié? Mais c'est énorme.
-Et je pense que l'attentat du métro de Londres d'il y a quelques heures est de lui.
-Incroyable. L'un des plus grands terroristes du monde. Pensez vous qu'il fassent ça lui-même?
-Des rumeurs disent que oui, d'autres disent que non. Je n'en sais rien.
-Je suis d'avis que l'on attende l'agent américain avant de faire quoi que ce soit.
-L'idée ne m'enchante guère mais je suis d'accord avec vous."
A ce moment, un homme arriva et dit:
"-L'agent américain est au barrage militaire.
-Quand on parle du loup..."

vous pouvez me tuez mon john. allez voir mes explication dans ma presentation